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J'ai couru vers le Nil - EL ASWANY Alaa

Couverture J'ai couru vers le NilLe Caire, 2011. Alors que la mobilisation populaire est à son comble sur la place Tahrir, Asma et Mazen, qui se sont connus dans une réunion politique, vivent leurs premiers instants en amoureux au sein d'une foule immense. Il y a là Khaled et Dania, étudiants en médecine, occupés à soigner les blessés de la manifestation. Lui est le fils d'un simple chauffeur, elle est la fille du général Alouani, chef de la Sécurité d'Etat, qui a des yeux partout, notamment sur eux. Il y a là Achraf, grand bourgeois copte, acteur cantonné aux seconds rôles, dont l'amertume n'est dissipée que par ses moments de passion avec Akram, sa domestique. Achraf dont les fenêtres donnent sur la place Tahrir et qui, à la suite d'une rencontre inattendue avec Asma, a été gagné par la ferveur révolutionnaire. Un peu plus loin, il y a Issam, ancien

Notre avis : 8 / 10 (1 note)

J'ai dû rêver trop fort - BUSSI Michel

Couverture J'ai dû rêver trop fortLes plus belles histoires d’amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu’il n’y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s’évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu’on peut remonter le temps ?
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et

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Notre avis : 2 / 10 (1 note)

J'ai horreur des contacts humains - DEVARRIEUX Claire

Couverture J'ai horreur des contacts humains

 

Biographie de l’auteur

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Notre avis : 5 / 10 (1 note)

J'aime pas les autres - BERTRAND Jacques-André

Couverture J'aime pas les autres

II y a eu la petite école, la règle en bois, les humiliations publiques. Être le fils du maître, c'est forcément devoir faire mieux. Mieux que les autres. II y a eu le lycée, le pensionnat, le pion sadique et le renvoi. Tout ça à cause de qui ? A cause des autres. Et après, le service militaire, où il faut encore les supporter. Et puis les femmes.

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Notre avis : 8 / 10 (4 notes)

J'apprends le français - ETCHEGOIN Marie-France

Couverture J'apprends le françaisDe cette expérience, elle tire un récit tout à la fois bouleversant et drolatique  : l’histoire passionnante et mouvementée d’un double apprentissage. Le sien puisqu’elle n’a jamais enseigné ni agit au quotidien auprès des migrants. Et celui de jeunes hommes, parfois illettrés, qui au terme d’un très long et terrible voyage, se retrouvent devant un tableau, confrontés à l’une des langues les plus difficiles du monde, dont ils n’ont jamais entendu un mot. Dans le huis clos de cette classe, ils disent à nouveau «  je  » et font entendre leur incroyable odyssée tandis que leur «  professeur  » invente sa méthode en s’efforçant d’éviter les maladresses.
Quand pour la première fois, elle a franchi les portes du centre d’hébergement

Notre avis : 6.75 / 10 (4 notes)

J'aurais voulu être égyptien - EL ASWANY Alaa

Couverture J'aurais voulu être égyptien"Si je n'étais pas né égyptien, j'aurais voulu être égyptien", la célèbre citation de Mustapha Kamel donne le ton de ce recueil : voici l'Egypte placée sous le feu d'un écrivain amoureux de son pays et qui, par le détour de la fiction, fait apparaître les turpitudes et les contradictions d'une société à la dérive. Interdit de publication par l'Office du livre, pour cause d'insulte à l'Egypte, le premier de ces récits, "Celui qui s'est approché et qui a vu", donne précisément à voir un monde où règnent les faux-semblants et l'hypocrisie. Par une cinglante et implacable ironie, pour décrire des êtres prisonniers de l'obscurantisme et de l'arbitraire, l'auteur fait exister sous nos yeux des personnages singuliers qui évoquent l'univers d'un Dostoïevski à l'ombre des pyramides. Tendres et cruels, ces récits

Notre avis : 7 / 10 (1 note)

J'irai cracher sur vos tombes - VIAN Boris

Couverture J'irai cracher sur vos tombesLee Anderson, vingt-six ans, a quitté sa ville natale pour échouer à Buckton où il devient gérant de librairie. Il sympathise dans un bar avec quelques jeunes du coin. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire, Lee, qui sait aussi chanter le blues en s'accompagnant à la guitare, réussit à séduire la plupart des adolescentes. Un jour il rencontre Dexter, le rejeton d'une riche famille qui l'invite à une soirée et lui présente les soeurs Asquith, Jean et Lou (17 et 15 ans),

Notre avis : 6 / 10 (1 note)

Jack l'Épate et Mary pleine de grâce - CONNOLLY Joseph

Couverture Jack l'Épate et Mary pleine de grâce

Londres, 1939. Mary et Jackie s'aiment et mènent une existence ordinaire. Manœuvre la journée, Jackie passe la plupart de ses soirées au pub tandis que Mary, dévouée et soumise, élève leur enfant. Mais leur vie, comme celle de millions de Londoniens, va être bouleversée par la guerre. Finie la routine domestique, adieu le bon vieux Jackie et la douce Mary. Voici Jack l'Epate et Mary pleine de grâce : le brigand et sa faiseuse d'anges. Rarement la vie en temps de guerre et

Notre avis : 6 / 10 (1 note)

Le jardin forteresse - PUJADE-RENAUD Claude

Couverture Le jardin forteresse

Elles sont trois petites filles du plus haut lignage, issues des deux mariages du tyran Denys de Syracuse. Leur vie quotidienne, au début du IVe siècle av. J.-C., est rythmée par les récits et par les jeux, par l'apprentissage des mythes et de la musique, par l'admiration pour leur père et par la lointaine rumeur du monde des hommes qui parfois monte, troublante, enivrante, d'au-delà des remparts, portée par le vent de la mer. Car le jardin où elles grandissent est cerné

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Notre avis : aucune note

La Jarre d'or - CONFIANT Raphaël

Couverture La Jarre d'or

Augustin Valbon se mit à pelleter le sol humide, couvert de feuilles mortes, avec une énergie qui le surprit lui-même. Il buta d'abord sur des roches, énormes, qu'il lui fallut enlever à la force de ses bras et qui roulèrent avec fracas dans la sombre ravine qui bordait l'endroit et d'où l'on entendait monter ces étranges vagissements des tiges de bambou lorsque le vent les frotte les unes contre les autres. Ce labeur épuisant dura un paquet d'heures jusqu'à ce que la pelle cogne quelque chose et lui échappe des mains. La jarre ! La jarre de livres bannis ! Il la voyait. Aux Antilles, au temps de l'esclavage, les riches planteurs békés craignant des révoltes enterraient leur fortune dans

Notre avis : 6 / 10 (1 note)


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