Oradour-sur-Glane - MARTEIL Jean-Louis
Collection "Terre de mémoire"
Biographie de l’auteur
Ordesa - VILAS Manuel
Prix Femina Etranger 2019 - "Mon coeur ressemble à un arbre noir couvert d'oiseaux jaunes qui piaillent et me perforent la chair.' Tel est l'autoportrait brut et sans tabou d'un écrivain confronté à la disparition de ses parents. Assailli par les fantômes de son passé, il retrouve espoir dans le souvenir baigné de lumière jaune de leur amour et de la beauté d'antan. À travers l'évocation d'une famille modeste, c'est alors la peinture d'une certaine Espagne qui se révèle à nous dans toute sa complexité. L'appartenance à une classe sociale, l'éducation, l'alcoolisme ou encore la paternité sont autant de sujets traités ainsi de façon personnelle et
Pas pleurer - SALVAYRE Lydie
Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier - MODIANO Patrick
" - Et l'enfant ? demanda Daragane. Vous avez eu des nouvelles de l'enfant ? - Aucune. Je me suis souvent demandé ce qu'il était devenu... Quel drôle de départ dans la vie... - Ils l'avaient certainement inscrit à une école... - Oui. A l'école de la Forêt, rue de Beuvron. Je me souviens avoir écrit un mot pour justifier son absence à cause d'une grippe. - Et à l'école de la Forêt, on pourrait peut-être trouver une trace de son passage... - Non, malheureusement. Ils ont détruit l'école de la Forêt il y a deux ans. C'était une toute petite école, vous savez..."
Biographie de l'auteur
Pripyat : Vert comme l'enfer - COLOMBO Cécilia | MARTEIL Jean-Louis
La pensée autorise et légitime tous les voyages. Même et surtout ceux que la raison déconseille. Cécilia Colombo n'est pas allée, physiquement, à Pripyat, ni à Tchernobyl. Pourtant, pas de "science-fiction", ici, seulement les mots justes pour dire que la nature outragée, là-bas, s'en sort mieux que les hommes ; les arbres y grandissent plus vite, écartent le béton avec une anormale énergie ; l'homme s'est lui-même coupé les jambes et s'étonne
La Reconstruction - GREEN Eugène
Le jour où, récalcitrant, Jérôme Lafargue, tranquille professeur de littérature à la Sorbonne, accepte de rencontrer Johann Launer, il écrit dans son journal : "Un rendez-vous catastrophique ce matin avec un Allemand inconnu. Ce n'est pas un fou, mais un homme profondément malheureux, car il pense avoir découvert qu'il est un autre, dont il ne sait même pas le nom." De fait, c'est le mystère de sa propre identité que Launer espère dénouer en convainquant l'universitaire parisien de fouiller pour lui ses souvenirs délavés : est-il seulement le fils de son
Rivesaltes : Un camp en France - MONNIER Alain
Créé en 1938, le camp de Rivesaltes a d'abord "hébergé" des Républicains espagnols, puis des tziganes et des juifs, ensuite des prisonniers allemands, enfin des harkis. Pourtant, l'auteur s'attache surtout aux années 1941-1942: non parce qu'il ignore la souffrance des autres "hôtes" du camp, mais parce que, né à quelques dizaines de kilomètres, il n'a jamais, de toute son enfance, entendu parler des juifs partis de Rivesaltes
Le temps de l'enfance - HERICOURT Dany
Et les voix, les gestes, les bonheurs et les souffrances de ceux qui l'ont aidé à grandir sont autant de diamants de la mémoire. Olympe qui aimait les hommes,
La Tour de Constance et le Chambon-sur-Lignon - CABANEL Patrick
"Le soir viendrait, puis la nuit aux étoiles dures, nous saurions qu'il n'est pas d'histoire morte." Après nous avoir guidés dans les Cévennes, Patrick Cabanel nous convie à découvrir deux autres sommets du Midi biblique : la tour de Constance à Aigues-Mortes, vigie de pierre blonde, doigt de dieu au bord de la mer, et le plateau du Chambon-sur-Lignon, ce toit couvert de
Un papa de sang - HATZFELD Jean
Jean Hatzfeld revient sur les collines de Nyamata, au bord de ses marais, vingt ans après le génocide. Il donne la parole ici non plus aux tueurs et aux rescapés dont les récits peuplaient ses précédents livres, mais à leurs enfants. Ils n’ont pas connu les machettes, mais ont grandi dans leur souvenir. Ils s’appellent Idelphonse, Fabiola, Immaculée, Fabrice, sont lycéens, couturiers ou agriculteurs. Ils partagent le génocide en héritage, mais pas du tout la même histoire familiale. Dans ces familles décimées, certains ont grandi dans le silence et le mensonge, ont affronté les crachats sur le chemin de l’école, d’autres ont été confrontés aux troubles de comportement de leurs parents, à la houe sur une parcelle aride dès l’adolescence. Ils dansent ensemble,
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