Avis de lecture » Les livres par mot-clé » Résultats

L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux - EVANS Nicholas

Couverture L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevauxAvec L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, Nicholas Evans a écrit un roman exceptionnel de sensibilité et de poésie qui nous emporte dans les grands espaces du Montana, au plus profond d'une passion difficile mais superbe entre une mère et sa fille, entre cette fille et son cheval et, bien sûr, tout simplement entre un homme et une femme. Une merveilleuse histoire d'amour et de rédemption. Car, là-bas, dans l'Ouest lointain, au pied des montagnes millénaires, certains parlent aux chevaux fous et les sauvent.
Pour connaître le secret des mots qui guérissent, pour entendre battre le coeur de la nature, pour vivre l'amour qui fait renaître le monde... découvrez ou redécouvrez la magie du roman qui a séduit des millions de lecteurs du monde entier - aujourd'hui un grand film de Robert Redford, avec Kristin Scott Thomas et Robert Redford.

Notre avis : 9 / 10 (1 note)

Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan - PEREZ Roland

Couverture Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan

À cinq ans, Roland ne marche toujours pas. Il vit dans un HLM du XIIIe arrondissement de Paris avec sa famille juive séfarade d’origine marocaine. Un appartement plein de vie d’où Roland ne peut sortir, si ce n’est dans les bras de sa mère. La religion et la culture juives tiennent dans sa vie une place primordiale. Surprotectrice et très croyante, elle le garde à l’écart du monde extérieur.
L’appartement est devenu son territoire, d’où il observe avec fascination les va-et-vient de ses frères et sœurs et de leurs amis. Mais c’est en regardant la télévision qu’il découvre le monde. Il se passionne pour les émissions de variétés et pour Sylvie Vartan, « étoile parmi les étoiles ».
Un jour, alors qu’il a six ans, un miracle se produit : il réussit enfin à marcher.
Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan est un roman tendre et loufoque, aux personnages drôles et attachants. Une histoire vraie, lumineuse et pleine
Notre avis : 9 / 10 (2 notes)

Ma vie palpitante - KIM Ae-ran

Couverture Ma vie palpitante

Mes parents avaient seize ans quand ils m’ont eu. J’ai eu seize ans cette année.
Je ne sais pas si je vivrai jusqu’ à mes dix-huit ans. Je ne suis sûr que d’une chose : il me reste peu de temps. Pendant que les autres enfants grandissent, moi, je vieillis. Pour moi, chaque heure compte comme un jour. Chaque mois, comme une année. Aujourd’hui, je suis plus vieux que mon père. Seize ans est-il un bon âge pour avoir un enfant ? Trente-deux ans est-il un bon âge pour le perdre ?
Ceci est l’histoire de très jeunes parents et de leur très vieil enfant.

Notre avis : 7 / 10 (1 note)

Le mariage de plaisir - BEN JELLOUN Tahar

Couverture Le mariage de plaisir

Dans l'islam, il est permis à un homme qui part en voyage de contracter un mariage à durée déterminée pour ne pas être tenté de fréquenter les prostituées. On le nomme "mariage de plaisir".
C’est dans ces conditions qu’Amir, un commerçant prospère de Fès, épouse temporairement Nabou, une Peule de Dakar, où il vient s’approvisionner chaque année en marchandises. Mais voilà qu’Amir se découvre amoureux de Nabou et lui propose de la ramener à Fès avec lui. Nabou accepte, devient sa seconde épouse et donne bientôt naissance à des jumeaux. L’un blanc, l’autre noir. Elle doit affronter dès lors la terrible jalousie de la première épouse blanche et le racisme quotidien.

Notre avis : 7 / 10 (1 note)

Les miracles de l'Ourcq - PIERRON Véronique

Couverture non disponible ----------------------------------- Les miracles de l'Ourcq

Sur les bords du canal de l’Ourcq à Paris, toute une population rejetée a construit des villages aux maisons de carton recouvertes de bâches en plastique. On y trouve le Vieux, qui vit dans une caravane de fortune après un naufrage personnel et qui s’adonne à sa passion du tricot ; Sandra, l’ex-assistante atteinte du syndrome de Gilles de La Tourette ; Bella, la voyante du village de Roms, ou encore Noury et son violon d’une inestimable valeur. Il y a aussi Juno, le Brésilien, poète, illettré, mais tombé fou amoureux d’une écrivaine infirme au succès grandissant.
Cette population de désœuvrés survit en oubliant le désespoir et en essayant malgré tout de se faire la vie belle. Jusqu’au jour où surgissent les miracles de l’Ourcq...
Un univers
Notre avis : 7.50 / 10 (1 note)

Les mots qu'on ne me dit pas - POULAIN Véronique

Couverture Les mots qu'on ne me dit pas« “ Salut, bande d’enculés ! ”
C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. “ Salut, bande d’enculés ! ” Et ma mère vient m’embrasser tendrement. »Sans tabou, avec un humour corrosif, elle raconte.

Son père, sourd-muet.
Sa mère, sourde-muette.
L’oncle Guy, sourd lui aussi, comme un pot.
Le quotidien. Les sorties.

Notre avis : 7 / 10 (1 note)

Murène - GOBY Valentine

Couverture MurèneHiver 1956. Dans les Ardennes, François, un jeune homme de vingt-deux ans, s'enfonce dans la neige, marche vers les bois à la recherche d'un village. Croisant une voie ferrée qui semble désaffectée, il grimpe sur un wagon oublié... Quelques heures plus tard une enfant découvre François à demi mort ? corps en étoile dans la poudreuse, en partie calciné. Quel sera le destin de ce blessé dont les médecins pensent qu'il ne survivra pas ? A quelle épreuve son corps sera-t-il soumis ? Qu'adviendra-t-il de ses souvenirs, de son chemin de vie alors que ses moindres gestes sont à réinventer, qu'il faut passer du refus de soi au désir de poursuivre ? Murène s'inscrit dans cette part d'humanité où naît la résilience, ce champ des possibilités humaines qui devient, malgré les contraintes de l'époque ? les limites de la chirurgie, le peu de ressources dans l'appareillage des grands blessés ?, une promesse d'échappées. Car bien au-delà d'une histoire de malchance, ce roman est celui d'une métamorphose qui nous entraîne, solaire, vers l'émergence du

Notre avis : 8 / 10 (1 note)

Où on va papa ? - FOURNIER Jean-Louis

Couverture Où on va papa ?

Prix FEMINA 2008

Jusqu'à ce jour, je n'ai jamais parlé de mes deux garçons. Pourquoi ? J'avais honte ? Peur qu'on me plaigne ? Tout cela un peu mélangé. Je crois, surtout, que c'était pour échapper à la question terrible : « Qu'est-ce qu ils font ? » Aujourd'hui que le temps presse, que la fin du monde est proche et que je suis de plus en plus biodégradable, j'ai décidé de leur écrire un livre. Pour qu'on ne les oublie pas, qu'il ne reste pas d'eux seulement une photo sur une carte d'invalidité. Peut-être pour dire mes remords. Je n'ai pas été un très bon père.

Mots clés : , , ,
Notre avis : 7.33 / 10 (3 notes)

Pourquoi tu danses quand tu marches ? - WABERI Abdourahman

Couverture Pourquoi tu danses quand tu marches ?

Un matin, sur le chemin de l’école maternelle, à Paris, une petite fille interroge son père : « Dis papa, pourquoi tu danses quand tu marches ? ». La question est innocente et grave. Pourquoi son père boite-t-il, pourquoi ne fait-il pas de vélo, de trottinette… ? Le père ne peut pas se dérober. Il faut raconter ce qui est arrivé à sa jambe, réveiller les souvenirs, retourner à Djibouti, au quartier du Château d’eau, au pays de l’enfance. Dans ce pays de lumière et de poussière, où la maladie, les fièvres d’abord puis cette jambe qui ne voulait plus tenir, l’ont rendu différent, unique. Il était le « gringalet » et « l’avorton » mais aussi le meilleur élève de
Notre avis : 8.50 / 10 (2 notes)

S'adapter - DUPONT-MONOD Clara

Couverture S'adapter

C’est l’histoire d’un enfant aux yeux noirs qui flottent, et s’échappent dans le vague, un enfant toujours allongé, aux joues douces et rebondies, aux jambes translucides et veinées de bleu, au filet de voix haut, aux pieds recourbés et au palais creux, un bébé éternel, un enfant inadapté qui trace une frontière invisible entre sa famille et les autres. C’est l’histoire de sa place dans la maison cévenole où il naît, au milieu de la nature puissante et des montagnes protectrices ; de sa place dans la fratrie et dans les enfances bouleversées. Celle de l’aîné qui fusionne avec l’enfant, qui, joue contre joue, attentionné et presque siamois, s’y attache, s’y abandonne et s’y perd. Celle de la cadette, en qui s’implante le dégoût et la colère, le rejet de l’enfant qui aspire la joie de ses parents et l’énergie de l’aîné. Celle du petit dernier qui vit dans l’ombre des fantômes familiaux tout en portant la renaissance
Notre avis : 9 / 10 (1 note)

Affichage des avis de lecture 11 à 20 | Page 2 de 3